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compléments alimentaires

Samedi 23 avril 2011 à 14:17

 Et si on ne dort

pas… la solutions peut être avec les compléments alimentaires

 

Dédramatisez ! Il suffit

d’une ou deux nuits pour

récupérer. Sachez que plus

vous vous acharnerez à

trouver le sommeil, moins

vous y parviendrez. Si le

sommeil ne vient pas, il

vaut mieux se lever, aller

dans une autre pièce et

s’occuper jusqu’à l’arrivée

du prochain cycle. Lisez,

faites des mots croisés,

écoutez une musique

douce… privilégiez une

activité calme et repérez

les premiers signes annonciateurs

du cycle suivant

pour retourner au lit. Pour

libérer vos tensions plus

facilement, n’hésitez pas

à écrire ce qui vous préoccupe.

 

 

47

 

 

 

le poids

 

Le poids des kilos

 

Il y a encore 5 ans, il suffisait d’arrêter les grignotages

et les sucreries… et vous perdiez vos kilos en trop.

Désormais, c’est beaucoup plus difficile voire impossible !

 

 

A partir de la quarantaine, la sécrétion

d’oestrogènes diminue progressivement jusqu’à la

ménopause. Cette modification hormonale favorise

la formation des graisses et la prise de poids. On

souffre de rétention d’eau et la graisse se répartit

différemment, sur le ventre, les bras, le visage…

 

Compenser la baisse des hormones

 

On peut contrebalancer les déficits hormonaux

en remplaçant la viande par des protéines de soja,

riche en isoflavones, des phyto-oestrogènes qui

ont les mêmes caractéristiques que les hormones

féminines. A déguster de préférence sous forme

de pâte (ou tofu), de steak (6mg d’isoflavones)

ou encore de sauce. Attention aux crèmes dessert

(35 mg d’isoflavones) et aux « laits » (15 mg

d’isoflavones dans un grand verre) qui peuvent être

mal tolérés entraînant gaz et ballonnements. Selon

divers spécialistes, l’organisme des Européennes

n’est pas adapté à la consommation de ce type de

produits, contrairement aux asiatiques. L’Afssa*

conseille de respecter la dose limite de 1mg

d’isoflavones par kilo de poids et par jour, soit par

exemple 60mg si on pèse 60kg.

 

Plus de protéines

 

Pour limiter la production de graisses, il faut conserver sa masse musculaire.

Pour cela, il est indispensable de consommer des protéines en quantités

suffisantes, d’autant que les besoins augmentent avec l’âge pour faire face à

une réparation cellulaire plus importante. Nos besoins minimum sont de 1g

par kilo de poids et par jour, soit 60g si on pèse 60kg. Ces besoins peuvent

atteindre 1.3g par kilo de poids au-delà de 60 ans ou si on pratique une

activité physique régulièrement. L’idéal est de répartir nos apports entre les

protéines animales (viandes, poissons, oeufs, laitages) et les protéines végétales

(légumes secs, pain, pâtes…). Lorsqu’on surveille son poids, mieux vaut

privilégier les plus maigres : les viandes blanches (poulet, dinde, veau, filet

mignon de porc) et certaines rouges (faux filet, pavé rumsteak), les produits

de la mer (poissons, crustacés…) et les charcuteries maigres (jambon blanc,

bacon, viande de grison).

 

Plus d’eau, moins de sel

 

Environ 7 femmes sur 10 souffrent de rétention d’eau avec pour conséquence

2 à 3 kilos supplémentaires. Pour éliminer, il faut éviter tout ce qui est

naturellement salé (fromages, charcuteries, plats tout prêts…). Pour donner

du goût, jouez avec les épices (curcuma, paprika, gingembre, ail, muscade,

cumin…), utilisez des bouillons cube sans sel, préférez les cuissons lentes à

l’étouffée, en cocotte, en papillote qui concentrent les saveurs… Et buvez au

moins 2 litres d’eau par jour ou de tisanes favorisant les échanges hydriques

intra cellulaires (pissenlit, bouleau, reine des prés).

 

*Afssa : Agence française de sécurité sanitaire des aliments.

 

Faites vos

comptes

 

- 20g de protéines dans

1 steak haché, 1 portion

de poulet, 2 tranches de

jambon.

 

- 15g de protéines dans

200g de lentilles, d’haricots

blancs, de pois

chiches ou 1 steak de

soja.

 

- 10g de protéines dans

2 yaourts nature, 150g

de fromage blanc, 45g de

fromage, 1 bol de lait.

 

- 5g de protéines dans

80g de baguette (1/3), 1

yaourt au lait de soja, 50g

de noix ou de pignons, 1

assiette de pâtes.

 

48

 

le poids

 

49

 

 

 

Je grossis de partout

 

A partir de la quarantaine, le corps se modifie. La silhouette s’épaissit. En réalité, il s’agit pour

la majorité d’entre nous d’une nouvelle répartition des masses maigres et grasses que d’une

réelle prise de poids.

 

A l’approche de la ménopause, il est fréquent d’entendre dire que l’on prend du

poids. Or selon les statistiques, la réalité n’est pas si évidente. La prise de poids

commence bien plus jeune, chez les hommes comme les femmes, et de manière

assez régulière entre 20 et 60 ans : nous prenons jusqu’à une douzaine de kilos.

 

Le tournant de la trentaine

 

En fait, si la prise de poids est progressive, c’est autour de la trentaine que la masse

grasse commence à augmenter dans le corps. Et plus on a répété les régimes et fait

le « yo-yo », plus on voit augmenter sa masse grasse. Après 40 ans, le début des

désordres hormonaux et la carence en hormone qui s’installe, accentuent encore

un peu plus la part de la masse grasse qui a tendance à se concentrer non plus sur

les hanches et les cuisses mais sur le ventre. Les facteurs psychologiques survenant

fréquemment à cette étape de la vie peuvent aussi favoriser ce processus : on a

souvent une mauvaise image de soi, on a peur de ne plus pouvoir séduire, l’ascension

professionnelle est remise en cause, les enfants s’éloignent du foyer parental etc…

Autant de sources de stress qui peuvent nous inciter à compenser avec la nourriture

et à manger plus … sans toujours en être conscient.

 

Une faiblesse de la thyroïde

 

Avec l’âge, la thyroïde peut devenir moins efficace.

Or cette glande contrôle notre métabolisme.

Une faiblesse de sa part et tout notre organisme

marche au ralenti. On se sent fatigué, on devient

plus lent aussi bien dans nos activités physiques

qu’intellectuelles, on prend du poids. Les poils des

aisselles, du pubis et des sourcils ont tendance à

être moins épais. Pour confirmer le trouble de la

thyroïde, il faut réaliser une prise de sang. Lorsque

l’insuffisance thyroïdienne est significative, un traitement

médicamenteux peut s’imposer. Lorsqu’elle

est minime, on peut enrichir son alimentation de

produits riches en iode : poissons, crustacés, algues

sous forme de paillettes à parsemer dans les salades

ou les omelettes, ou sous forme de tartare d’algues

à consommer sur des toasts ou à intégrer dans des

vinaigrettes ou des sauces. Les oeufs en contiennent

aussi en bonne quantité. Et pour regonfler nos

réserves plus rapidement, on peut suivre une cure

d’huile de foie de morue.

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